Le 11 février 2018, nous décollons de L'aéroport St Exupéry ( Lyon) pour un voyage de 12 jours en Egypte.
Nous arrivons au Caire (la capitale), métropole surpeuplée, active, grouillante.
Ville de 20 millions d'habitants, elle éclate de partout.
Elle est fourmillante, foisonnante, affolante, stressante, plutôt sale, polluée, bruyante... inoubliable !
La capitale égyptienne s'étend sur 65km de longueur et 40km de largeur en absorbant le Nil et en arrivant jusqu'aux pieds de pyramides.
En l'absence de plan d’urbanisme, c'est l'anarchie complète des constructions qui grignotent chaque jour un peu plus le désert.
Pour autant, compte tenu de la démographie galopante et faute d'une politique audacieuse de la ville peut-on s'en étonner ?
Des immeubles autrefois cossus tombent aujourd'hui en ruine.
La circulation d'une densité inouïe se fait dans une grande pagaille. Les moyens de locomotion sont composés de voitures plus ou moins en bon état, d'ânes et de baudets tirant leurs charrettes.
Les bus ou plutôt les mini bus servant de transports en commun sont bondés, certains voyageurs à plusieurs sur le marchepied s'agrippent derrière.
Ils leur arrivent de descendre en marche en pleine circulation !
Dans cette densité de circulation en l'absence de feux tricolores et de passages protégés, les piétons traversent devant les voitures qui ne ralentissent pas... nous sommes proche du chao !
Les élections sont proches. Des banderoles de propagande pour le seul et unique candidat El Sissi, flottent de partout.
Nous croisons tout type de commerces, dans des lieux les plus inattendus.
Les immondices trainent de partout
Notre hôtel est un havre de paix au milieu de la cacophonie ambiante.
Nous reviendrons au Caire pour deux jours à la fin du voyage mais demain...nous nous en échapperons pour aller visiter Sakkarah et le plateau de Giseh.
Texte de Paulette Gleyze
Photos de Paulette et Gérard Gleyze
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire