samedi 26 octobre 2019

Voyage en Sicile_jour 4_villa romaine de Casale_15-07-2019


Après ces belles visites du matin suivies d'un bon restaurant, nous quittons Agrigente et partons pour Piazza Armerina pour visiter la villa romaine du Casale.

Après quelques kilomètres le bus nous joue un tour et refuse de continuer.
Quelques coups de téléphone et un nouveau bus arrive. Ce n'est qu'un contretemps sans gravité.

Nous traversons de belles zones agricoles avant d'arriver à la villa romaine du Casale, située à 5 km au sud de la ville de Piazza Armerina dans la province d'Enna.

La commune de Piazza Armerina, surgit sur les Monts Héréens, dans l’arrière-pays du Golfe de Gela.

Nous arrivons sur le site.
La Villa Romaine du Casale a été construite sur les vestiges d'une villa plus ancienne au cours du premier quart du IVe siècle (dans les années 320-350), probablement au centre d'un immense latifundium (Un latifundium est, dans l'Antiquité, un grand domaine agricole) couvrant toute la zone environnante.

Les archéologues pensent que son commanditaire était probablement membre du Sénat et peut-être même de la famille impériale.
Le propriétaire pourrait avoir été Lucius Aradius Valerius Proculus, gouverneur de la Sicile entre 327 et 331, puis consul en 340.

Ils ignorent combien de temps la villa a gardé son rôle.
Le site a été sérieusement endommagé sous la domination des Vandales et des Wisigoths, mais une partie a été utilisée pendant la période byzantine et arabe jusqu'en 1160, date à laquelle elle est ravagée par un incendie et disparait sous un glissement de terrain.

Le site est définitivement abandonné à cette date et les habitants se sont déplacés vers l'emplacement actuel de Piazza Armerina, et l'existence de la villa a été presque entièrement oubliée.

Redécouverte en 1812, elle est fouillée à partir de 1929 par Paolo Orsi,
puis par Giuseppe Cultrera en 1935-1939. Les dernières grandes fouilles datent de 1950 à 1960 et ont été réalisées par Gino Vinicio Gentile.
Quelques fouilles très localisées ont été réalisées dans les années 1970 par Andrea Carandini.

Les archéologues vont mettre à jour une trentaine de pièces décorées de 3 500 m2 de magnifiques mosaïques figuratives et géométriques, avec une grande diversité de sujets : scènes de chasse, jeux du cirque, mythologie, scènes de la vie quotidienne, etc...
Ces mosaïques sont considérées par l'Unesco comme « les plus belles encore en place dans tout le monde romain » et « exceptionnelles tant par leur qualité artistique que par leur inventivité et leur étendue. »
Les archéologues mettent également à jour des colonnes, des statues, des chapiteaux et des monnaies anciennes.

La Villa du Casale est inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1997.

Les restes de la villa se répartissent en quatre zones :
l’entrée monumentale, avec une cour en forme de fer à cheval
le corps central de la villa, construit autour d’une cour avec jardin,
une grande salle avec trois absides, précédée d’une colonnade ovoïdale, autour de laquelle se répartissent les différentes pièces,
et les thermes.

La présentation ci-dessous de la villa est faite dans le sens de la visite telle que nous l'avons effectuée.

Nous arrivons au Nord ouest devant une partie des thermes de la Villa.

Les thermes étaient alimentés en eau par un aqueduc et chauffés par le système de l'hypocauste, système de chauffage située en dessous de la pièce, de façon à assurer une température d'environ 30 degrés.

L'organisation de ces thermes est identique à celle des thermes romains.
À l'entrée, où les gens se déshabillaient, se trouve la palestra ou la salle de sport, ensuite ils continuaient par les bains de vapeur dans le caldarium, salle chaude équipée d'un hypocauste en sous-sol et dont l'air est chauffé par un foyer. Ils passaient ensuite dans le bain à température moyenne ou tepidarium.
Cette salle débouche sur la salle des onctions (unctuarium). Ils passaient enfin dans le frigidarium ou "cella frigidaria", pièce non chauffée qui contient un bassin pour le bain froid de plan circulaire et terminaient à la piscine.

Les thermes de la villa sont construits sur les thermes antérieurs.

Nous longeons la salle de sport

Et nous accédons au tepidarium.
Dans l'organisation du bain antique, le tepidarium est l'intermédiaire entre le caldarium et le frigidarium ; il constitue ainsi le sas nécessaire entre les zones chaudes et les zones fraîches de l'établissement thermal.
La salle était décorée d'une mosaïque, aujourd'hui presque complètement disparue en raison de l’effondrement des principales parties du sol.
Il ne reste que quelques fragments, mais certaines sections sont préservées et nous pouvons reconnaître des athlètes et personnes avec des boucliers et une armure de protection sur un bras.

La pièce servait de salle de passage pour les salles thermales.
La décoration est composée d'une mosaïque géométrique.
Le motif géométrique est basé sur une série d'ellipses placées en diagonale, définies par une bande dessinée à double tresse à l'intérieur de laquelle se trouve
un cadre ondulé rouge qui encadre un avant allongé.
les quadrilatères concaves sont formés par des bandes dentées colorées et par une petite feuille géométrique exécutée de manière assez sommaire.

La décoration est composée de figures masculines et féminines qui tiennent des objets et tendent un bras comme pour inviter le visiteur à entrer dans la station thermale.

Les petites colonnes en briques carrées sont appelées pilae et ont pour fonction
de soutenir les planchers sous lesquels un espace fermé a été créé pour recueillir la chaleur produite par les fours.

Deux serviteurs (Titus et Cassius) sont représentés. Sur le drap blanc qu'il portent sur les hanches sont rassemblés dans un seau le nécessaire aux massages.

Ce tépidarium donne sur l'atrium ou boudoir. C'est la première cour que le visiteur voyait en entrant dans la Villa Romana del Casale.
Il est situé entre l’arc d'entrée, les latrines à l'ouest, l'antichambre des thermes à l'est et le tablinum qui mène au centre de la villa.

L'atrium est une cour de forme irrégulière. Sur trois côtés, il y avait un portique avec des colonnes ioniques, sur le quatrième côté, la voûte d'entrée.
Au centre de l'atrium se trouvait une fontaine et à l'intérieur de l'arche d'entrée, deux fontaines semi-circulaires revêtues de dalles de marbre
qui mènent à l'ouest à la grande latrine et à l’est à l’antichambre du complexe thermal.

La mosaïque décorant le sol est géométrique et se compose de losanges et de carrés adjacents qui contiennent des motifs floraux.

Des mosaïques à motifs géométriques constitués d'une ligne carrée en pointillés dans laquelle sont disposées des croix en losange vert et rose.

La latrine extérieure est située entre les thermes et l’atrium. L'accès aux latrines se faisait principalement par l'atrium, l'approvisionnement
en eau provenait de la fontaine de l'atrium. L'espace est semi-circulaire avec des sièges disposés le long du
côté circulaire.
Les sièges d'origine ont été perdus,ils ont été reconstruits en ciment au cours
des travaux de restauration des années 60.
Un cloaque profond se prolonge à la base des murs et des sièges
Compte tenu de ses dimensions réduites et du raffinement de la mosaïque
représentant des chiens en mouvement, les archéologues pensent que ces latrines étaient réservés
réservées à un usage privé du maître et de sa famille.

La grande cour à arcades de l'entrée se caractérise par un plan irrégulier conçu pour relier différentes parties de la villa : l'entrée monumentale au sud, le quadrilatère à l'est, le complexe thermal au nord et les grandes latrines à l'ouest.
L'espace est unifié par la colonnade ionique.
Le sol était entièrement pavé de calcaire et légèrement incliné vers le centre où se trouvait une fontaine.

Derrière l'atrium, dans le coin sud-ouest de la villa se trouve l'entrée de la Villa.
Elle était formée par une longue cour avec des murs des deux côtés, menant à une arche monumentale à trois voies .

Sur certaines sections du sol du porche, on peut voir des traces de la mosaïque à motifs géométriques en écailles bicolores.

Au centre de la villa se trouve le péristyle qui permet d'accéder aux bains thermaux, aux salles de service ornées de mosaïques géométriques, à la salle des saisons, à la salle de la petite chasse du côté nord, au couloir de la Grande Chasse, et à l’antichambre de la salle des filles en "bikini".

L'entrée du péristyle se fait depuis l'atrium en passant par le tablinum.
Le péristyle est trapézoïdal et mesure environ 40 x 30 m. Il est entouré sur ses quatre côtés par un portique soutenu par une colonnade à chapiteaux corinthiens (dix sur les côtés les plus longs et huit sur les côtés les plus courts).

Au centre du péristyle se trouve un bassin au milieu duquel se trouvait une fontaine.

Sous le portique, tout le sol est recouvert de mosaïques à motifs géométriques avec des carrés encadrés d'une tresse à trois couleurs et des guirlandes de laurier vert alternant sur un fond noir et jaune.
Dans les guirlandes sont insérés des têtes d'animaux parmi lesquels des lions, des tigres, des chevaux, des sangliers, des panthères... Le sujet peut être interprété comme une référence aux jeux du cirque.

L'entrée privée aux bains se situe à l'angle nord-ouest du péristyle.
Cette petite pièce servait de passage entre la partie principale de la villa et les thermes.
Depuis le péristyle, les visiteurs descendent quelques marches, des bancs le long des deux côtés laissent penser que la salle a été utilisée comme apodyterium, c'est à dire comme pièce pour changer de vêtements avant et après les bains.

La mosaïque est généralement interprétée comme représentant la maîtresse de maison, la domina, avec ses deux enfants en route pour les bains, accompagnés par deux esclaves, l’un portant les vêtements de bain, l’autre les ustensiles servant à masser le corps à l’huile pendant les bains.
Les mosaïques sont très bien conservées, contrairement au reste des éléments décoratifs de la pièce.

Il y a quatre salles de service situées au nord du péristyle et à l'est des thermes.

On suppose que ces pièces sont des pièces de travail pour les esclaves.

La première pièce avait son entrée par le péristyle, à côté de la porte de l'entrée des bains.
La pièce a une mosaïque géométrique avec des croix formées par des rubans entrelacés et des cercles avec divers motifs géométriques à l'intérieur.
La pièce située derrière est ornée d’une mosaïque géométrique de couleur rouge, verte et blanche. Un motif diagonal d'hexagones contenant six étoiles pointues avec six fleurs stylisées à pétales à l'intérieur.
La troisième pièce du péristyle servait probablement de cuisine. Il n'y a pas de mosaïque,

La quatrième pièce avait son entrée depuis le péristyle, à côté de la première pièce. La mosaïque est une conception géométrique avec six octogones.

La salle de danse est située au nord du péristyle, entre les salles de service et la salle des pêcheurs.
La mosaïque est fortement endommagée, mais certaines figures sont presque complètes. Dans la partie supérieure, il y a des danseuses qui jettent leurs écharpes en l'air.

Il ne reste que peu de chose de la partie inférieure de la mosaïque, mais à gauche une femme semble échapper aux tentatives d'un homme de l'attraper. Cette mosaïque pourrait être une représentation de l'enlèvement des Sabines.

La chambre des pêcheurs située au nord du péristyle, est probablement une chambre d'hôtes.
Elle est située entre la Salle de la Danse, la Salle des Saisons et la Salle de la Petite Chasse.
Les mosaïques très élaborées laissent entendre que cette chambre était destinée à des invités à statut élevé.
La mosaïque représente quatre bateaux sur chacun desquels de trouvent trois amours.

Ils utilisent chacun des techniques de pêche différentes, telles que le filet, le trident, la canne à pêche et le piège.

La mer regorge de poissons et les amours ont une bonne prise.
En bas à droite l'enfant qui vide un panier est un personnage récurrent dans les scènes de pêche, il a pour but de mettre en évidence l'abondance de la pêche.

Au fond, sur le rivage, il y a une villa avec une colonnade face à la mer et derrière la villa différents arbres.

La salle des saisons est l'antichambre de la salle des pêcheurs.

Le sol est décoré d'une mosaïque géométrique. Des hexagones créés par des tresses rouge et jaune, qui en se croisant, créent des losanges et des étoiles à six branches.
Certains cercles sont décorés d'emblèmes avec les allégories des quatre saisons, d'autres avec des images de poissons et d'oiseaux.

La chambre de la petite chasse est situé au nord du péristyle, entre la salle des Amours pêcheurs et la salle des saisons.

La destination de la pièce n'est pas connue, mais la superbe décoration en fait une pièce importante de la villa. Peut- être une salle à manger, pour les invités ?
Grâce à son orientation sud, elle était utilisée en hiver. Le caractère officiel de l'ambiance est souligné par une entrée enrichie de deux colonnes avec des chapiteaux ioniques qui la mettent en communication directe avec le péristyle quadrangulaire.

La mosaïque est composée de quatre rangées, chacune divisée en deux, trois ou cinq parties. En tout, il y a douze motifs distincts.

Au centre de la deuxième rangée , trois hommes présentent une offrande à Diane, déesse de la chasse.

Au centre de la troisième ligne se trouve la partie la plus importante de la mosaïque. Dans cette scène, cinq personnes dînent sous un dais rouge. Ils sont assis ou allongés sur une sorte de coussin allongé derrière une table soutenue par des pierres. Un homme en tunique rouge est assis au milieu, en train de couper un oiseau.
À sa droite, un homme en tunique verte tient un verre de vin à la main.
Devant la table, un certain nombre d’esclaves servent les personnes assises.

Les entrées des salles nous permettent d'admirer de magnifiques mosaïques au sol. Une alternance entre des carrés définis par une tresse, des losanges décorés en ruban ondulé et des carrés en motifs de pétales.

Le grand couloir de la grande chasse est le lieu le plus connu de la villa pour son exceptionnelle architecture et pour l'extraordinaire mosaïque au sol. Il s'agit de la représentation de la capture de bêtes sauvages et de leurs transports par bateaux à Rome pour les combats du cirque dans les arènes.
Ce couloir est situé entre le péristyle, le vestibule de Polyphemus, la grande basilique et l'atrium des pêcheurs.

Il mesure environ 66 x 5 m avec des absides aux deux extrémités.
Le glissement de terrain qui a recouvert la villa au 12ème siècle a provoqué l'affaissement du sol sous la partie sud du couloir, créant une dénivellement profond. À l'origine, le sol était de niveau.

La salle d'Orphée est une salle ou une petite basilique située du côté sud du péristyle, près de la salle des filles en bikini.

C'est une pièce de 10 × 8 m avec une abside à l'extrémité sud, précédée de deux colonnes. Au centre de la pièce se trouvait une fontaine et, dans l'abside, la base d'un statut d'Apollon.
Le torse de cette statut a été retrouvé dans un coin lors des fouilles et a été remise à son emplacement d'origine.

La mosaïque qui couvre toute la pièce représente Orphée attirant les animaux sauvages avec sa musique.
L'utilisation exacte de la salle n'est pas connue, mais elle aurait pu être une pièce pour la musique, la poésie ou la lecture.

La chambre des filles en "bikini" est située entre le péristyle, le couloir de la Grande Chasse et la salle d'Orphée.
L'entrée se fait par le péristyle à travers une antichambre.
La pièce pouvait être une chambre à coucher ou une pièce de service.
La mosaïque montre dix jeunes sportives :
une s'entraîne aux haltères, une autre est sur le point de lancer un disques et deux autres courent. En bas à droite, deux jouent à la balle.
La gagnante est au centre avec une feuille de palmier dans la main gauche, et se pose avec la main droite, une couronne de roses sur la tête.

L'antichambre se situe entre le péristyle et la salle des filles en"bikini". Elle est décorée d'une mosaïque géométrique.

L'appartement des maîtres est situé à l'extrémité sud du couloir de la Grande Chasse.
L'atrium est semi-circulaire, avec un portique à quatre colonnes. C'est la première pièce du plus grand appartement privé de la villa.

Au centre de l'atrium se trouve un petit bassin peu profond avec les restes d'une fontaine.
La mosaïque du portique ressemble à la mosaïque des Cupidons de la pêche.
Les Cupidons, à bord de six bateaux, font une pêche grouillante de poissons, en employant différentes techniques de pêche.

La salle des enfants qui chassent fait partie de l'appartement des maîtres
Dans cette pièce rectangulaire d’environ 4 × 6 m nous pouvons voir une mosaïque avec des scènes à la fois réalistes et naïves d'enfants chassant.

Le hall d’Arion est situé dans l'appartement privé, juste en face de l'Atrium des Cupidons et du Corridor de la grande chasse.

La salle d'Arion est une grande salle de 7m × 8m et l'abside a un diamètre de 5m.
La pièce a probablement été un salon.

La mosaïque dans la partie rectangulaire de la salle représente la légende grecque d'Arion. Arion était un célèbre poète de Corinthe en Grèce. Il a décidé d'assister à un concours de musique en Sicile, qu'il a gagné, mais au retour de Sicile, des marins avides ont comploté de le tuer et de lui voler son prix somptueux qu'il transportait avec lui. Arion avait le choix de se suicider, de permettre un enterrement convenable sur la terre ferme ou d'être jeté à la mer.
Pour gagner du temps, il a demandé l’autorisation de chanter une dernière chanson.

Il chante alors un éloge à Apollon, le dieu de la poésie.
Sa chanson a attiré des dauphins autour du navire. À la fin de la chanson, Arion se jette à la mer et un des dauphins lui sauve la vie et l'emmène en lieu sûr.
Arion continue alors sa route jusqu'à Corinthe et raconte son histoire au roi qui ne croit pas à cette histoire fantastique.
Arrivés à Corinthe, les marins racontent au roi qu'Arion avait décidé de rester en Italie. Le roi comprend alors que l'histoire d'Arion est vraie et condamne les marins à mort.
Autour d’Arion, on peut voir une multitude de naïades, de tritons, de cupidons, de monstres marins et de poissons.
C'est la pièce centrale et la plus importante du plus grand appartement privé.
Le propriétaire était sans doute un savant passionné de musique et de poésie.
La mosaïque est très bien conservée.

L'entrée au Vestibule de Polyphème se fait par le couloir de la Grande Chasse.

La mosaïque illustre un passage de l’Odyssée (chanson IX).
Ulysse et ses hommes sont piégés dans la caverne du cyclope Polyphemus qui mange les hommes : deux au petit-déjeuner et deux au dîner.
Ulysse incite Polyphemus à boire du vin fort pour qu'il s'endorme.
Lorsqu'il dort, Ulysse et ses hommes l'aveugle avec un pieu en bois. Bien qu'aveuglé, Polyphemus tente de de bloquer la sortie avec un énorme rocher, mais les hommes réussissent à s'échapper en s'attachant sous les moutons gigantesques de Polyphemus,
La mosaïque est très bien conservée.

La pièce aux mosaïques érotiques est située au nord du vestibule de Polyphemus.

Et pour finir de très belles mosaïques d'enfants à la chasse, en hommage à ces excellents mosaïstes anonymes.

Pour rester dans cette ambiance , vous pouvez lire Le Tome 5 "Le sang des ombres", de "L'Epopée des Normands de Sicile" de
Viviane Moore qui met en scène son histoire dans cette villa, peu avant sa destruction.

Nous continuons ensuite notre route pour Syracuse que nous visiterons le lendemain.



Texte de paulette Gleyze

Photos de Paulette, Anne et Gérard Gleyze

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